Augmenter les seins : mieux vaut éviter la chirurgie

De nos jours, beaucoup de femmes recourent à plusieurs méthodes d’augmentation des seins que ce soient des techniques chirurgicales, sportives ou médicales. Bien que les résultats de la chirurgie semblent être satisfaisants, les risques qu’elle apporte sont plutôt dangereux et décourageants. Ce type d’agrandissement de poitrine s’est développé aux États-Unis depuis l’année 1970. Les implants étaient fabriqués en silicone que l’on remplissait avec du liquide. Ce dernier provoquait cependant de graves inflammations quand il venait à sortir de l’enveloppe en attaquant les tissus de sein.

Les spécialistes du domaine ont alors cherché de nouvelles astuces pour éviter ce genre de risque. Les efforts ont été récompensés, car ils ont pu inventer de la silicone remplie avec du gel. Cette dernière quant à elle présente encore plus de danger que sa cadette. Ces implants ralentissent et gênent effectivement la possibilité aux chirurgiens de détecter un cancer. Par ailleurs, il y a aussi les risques de l’anesthésie avant l’opération d’augmentation des seins comme l’apparition des infections des tissus, des problèmes cardiovasculaires, des allergies ainsi que d’hémorragies.

Crédit photo : www.augmentationmamaire.fr

Ce n’est pas tout, car après l’opération, il y a perte de sensibilité au niveau de la poitrine et même si la femme en reprend peu à peu avec le temps, cela reste incomplet. Dans le même cas, des douleurs apparaissent au niveau des seins provoquées par le placement des implants sous les muscles. Il est formellement interdit à une femme de tomber enceinte pendant une année après son recours à la chirurgie. Cela n’enlève toutefois pas la possibilité à une adolescente ou adulte de l’option de d’augmentation des seins, car il y a également d’autres méthodes plus sûres, mais qui sont aussi efficaces. Plusieurs magasins spécialisés proposent en effet sur le marché des produits d’agrandissement et d’allongement de la verge. Ce sont les poids fixés sur l’appareil, les pilules à base de plantes naturelles, les massages et les CD contenant des programmes d’exercices péniens.